Quelle est ma mission de vie ?

Nombre d’entre nous se questionnent sur leur mission de vie.

Pour quelle raison ai-je choisi de m’incarner sur Terre ?

Quel plan ai-je établi avant de m’incarner et comment le retrouver ?

Je vous propose ici la réponse qui m’a été dictée par mon âme. Ce n’est que ma vérité, pas nécessairement la vôtre.

Nous sommes comme des notes de musique.

Chacun de nous est une note unique au sein d’une gamme infinie.

Notre mission de vie est simplement d’incarner cette note de musique dans la matière.

Chaque note étant unique, personne ne peut le faire à notre place.

Chacun de nous a une fréquence unique dont on cherche à nous éloigner en nous façonnant tous de la même manière, dès l’enfance.

Notre travail c’est de retrouver cette note unique pour sonner à l’unisson de notre âme.

Seule, une note de musique n’est rien d’autre qu’un bruit uniforme.

Associée à d’autres notes, elle compose une infinité de mélodies.

Chacune de nos relations est une mélodie, si nous jouons la bonne note, celle de notre âme, la mélodie est harmonieuse.

Si nous sonnons faux, car nous sommes déconnectés de nous-mêmes, de par notre éducation, nos traumatismes, l’identification à notre ego, toutes les mélodies que nous jouerons avec les autres seront dissonantes.

Notre vie sera dissonante.

Notre mission de vie est simplement de se connecter suffisamment à notre âme pour incarner notre vraie fréquence, notre vraie note de musique.

La façon dont nous l’incarnons dans la matière, les choix que nous faisons au quotidien, notre métier, nos loisirs, importent peu.

Si nous sonnons juste, si nous écoutons la vibration de notre âme et que nous la laissons aux commandes de notre vie, qu’importent nos actes, ils seront forcément justes, notre vie sera forcément juste.

Donc la question n’est pas « quelle est ma mission de vie ? », mais « est-ce que je sonne juste ? » car si la fréquence est bonne, le reste suit (quand la musique est bonne, comme dirait Jean-Jacques !).

Voilà la visualisation qui m’est venue avec ce message :

D’abord, j’écoute intérieurement chacun de mes chakras, la note qu’il émet.

Tous mes chakras doivent émettre la même note, si ce n’est pas le cas, je demande à mon âme de les aligner sur la même fréquence.

Ensuite je vérifie la puissance de leur fréquence, l’ampleur de la note de musique qu’émettent mes chakras, et je demande à mon âme d’harmoniser leur puissance si certains sonnent plus faiblement que les autres.

Puis je me visualise au milieu d’une colonne de lumière, connecté à la lumière qui descend du Ciel et connecté à la lumière qui monte de la Terre

A chaque inspiration, je reçois cette lumière en moi, elle me traverse et vient se loger au sein de chacun de mes chakras.

Chaque chakra reçoit la lumière d’en haut et la lumière d’en bas et tourne sur lui-même pour intégrer et mélanger ces 2 lumières, tel un yin et yang.

La lumière que j’ai reçu, du Ciel et de la Terre, devient alors imprégnée de ma propre fréquence, de ma propre couleur, de mon propre équilibre entre yin et yang, que j’émets ensuite vers l’extérieur.

A chaque expiration, chacun de mes chakras tourne dans l’autre sens et souffle vers l’extérieur de mon corps ce mélange de lumière unique qui porte ma fréquence personnelle.

Je visualise cela au rythme de mes inspirations et expirations aussi longtemps que je le souhaite, jusqu’à me sentir entièrement harmonisé à moi-même et à l’Univers.

Namaste (je salue le divin en chacun de vous).

La sagesse de la goutte d’eau dans l’océan

Il était une fois, une goutte d’eau.

Elle vivait au milieu de l’océan, parmi toutes ses sœurs les gouttes d’eau.

Elle savait parfaitement quel était son rôle : Être.

Elle devait être une goutte d’eau parmi des milliards de gouttes d’eau.

Mais un jour, elle décida d’expérimenter autre chose.

Elle avait du mal à savoir réellement qui elle était au milieu de ses semblables.

Elle avait la sensation de ne pas être si utile, qu’importe qu’elle soit là ou pas, de toute façon, des milliards d’autres êtres semblables à elle-même peuplaient cet océan.

Elle ressentait le besoin de se tester dans d’autres conditions, de découvrir ses limites, de se confronter à une réalité moins paisible, moins confortable.

Elle partit donc à l’aventure.

Elle devint donc une goutte de pluie, puis une goutte de fleuve, une goutte de rivière, une goutte de ruisseau.

Elle découvrit le froid en devenant une goutte d’eau dans un glaçon.

Elle découvrit la chaleur en devenant une goutte d’eau dans un radiateur.

Elle découvrit la saleté en devenant une goutte d’eau dans les égouts.

Elle découvrit la propreté en devenant une goutte d’eau dans un bain moussant.

Elle découvrit la tristesse en devenant une goutte d’eau dans une inondation.

Elle découvrit le bonheur en devenant une goutte d’eau qui éteint un incendie.

Mais malgré toutes les expériences qu’elle vivait, elle se sentait toujours aussi frustrée.

Frustrée de réaliser qu’elle ne pouvait rien réaliser seule, elle devait sans cesse s’associer avec d’autres gouttes d’eau afin d’être réellement significative.

Elle espérait que son voyage lui permettrait de trouver enfin qui elle était vraiment, et quelle était sa mission de vie, et la réponse semblait toujours lui échapper, quoi qu’elle fasse.

Sa maison lui manquait, elle décida donc, un peu honteuse, de revenir dans son océan pour y redevenir la goutte d’eau qu’elle avait toujours été.

Elle s’attendait à des railleries de ses camarades les gouttes d’eau de l’océan, qui ne manqueraient pas de se moquer d’elle puisqu’elle revenait bredouille.

A sa grande surprise, il n’en fut rien : non seulement elle fut accueillie en triomphe par toutes les gouttes d’eau de l’océan qui l’attendaient impatiemment, « tu nous as tellement manqué, l’océan n’est pas le même lorsqu’il y manque une goutte d’eau ! ». Mais en plus, elles lui réclamèrent les récits de ses expériences loin de l’océan.

« Ah bon ? vous voulez vraiment savoir ? » s’étonna la petite goutte d’eau aventurière.

« Mais bien sûr, fais nous profiter de ton savoir, tu as expérimenté d’autres réalités, qu’as-tu appris sur le monde ?« 

Et là, la goutte d’eau réfléchit et leur dit : « J’ai appris que rien n’est plus important que la solidarité et que tout le monde est indispensable. Même quand on a l’impression de ne pas être utile, ce que nous faisons, personne d’autre ne peut le faire à notre place, et nous ne pouvons rien réaliser d’important sans l’aide des autres. »

Puis la goutte d’eau reprit sa place dans l’immense océan, au milieu de ses milliards de sœurs, et, riche de ses apprentissages, reprit son activité favorite avec d’autant plus de bonheur : Être.

Pourquoi se battre pour revendiquer sa liberté ?

Pourquoi se battre pour revendiquer sa liberté ?

Se battre, protester, manifester dans la rue contre l’absence de liberté qui nous est imposé revient à admettre que nous ne sommes pas libres et que « quelqu’un d’autre » détient notre liberté.

Cela revient à se considérer délibérément comme des esclaves qui attendent qu’on leur donne leur liberté.

Nous n’avons pas à nous battre pour obtenir quelque chose que nous possédons déjà.

Nous avons juste à prendre conscience que cette liberté que nous convoitons est déjà nôtre, et que cette absence de liberté que nous déplorons n’existe que dans nos têtes.

La peur nous pousse à croire que l’on peut nous forcer à faire ce que nous ne voulons pas, mais c’est uniquement parce que docilement nous acceptons les règles du jeu.

La peur et la division constituent les piliers de cette croyance que nous devons obéir, et nous plier aux règles absurdes et inconstantes qui sont annoncées chaque jour dans les médias.

Comment savons-nous quelles règles nous devons suivre ? Parce que nous nous ruons sur la télévision dès que le gouvernement s’adresse à nous. Et si personne ne le regardait ? Et si personne ne l’écoutait ? Personne ne respecterait les règles puisqu’on ne les connaitrait même pas. Ils n’ont même pas besoin de nous forcer à obéir, nous répondons présents de nous-mêmes dès qu’ils veulent dire quelque chose.

« Allez-y allez-y, nous sommes vos esclaves consentants, dites-nous vite quelle nouvelle règle absurde vous souhaitez nous imposer, histoire qu’on ait une bonne raison de râler, de justifier notre colère, et d’oublier notre libre-arbitre ! »

Si un seul d’entre nous refuse de se plier aux règles, bien sûr il le paye cher.

Si la totalité d’entre nous refuse de se plier aux règles, que se passe-t-il ?

La règle disparait.

La règle n’est une règle QUE parce que nous lui obéissons, parce que nous l’acceptons comme telle.

En tant qu’êtres libres, nous choisissons à quelles règles nous donnons du crédit, et en tant que collectif, nous choisissons quelles sont les règles.

Tant que les humains croiront qu’ils sont des individus, ils seront des esclaves consentants qui demanderont à être dirigés.

Le jour où l’humanité comprendra qu’elle est UN COLLECTIF qui choisit ses règles elle-même, plus aucun être humain ne sera un esclave.